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il y a 5 ans
Les confessions érotiques d’une soumise trop heureuse de s’abandonner totalement
Depuis quelques temps, je correspondais sur MSN à la recherche d’une femme qui saurait me plier à sa volonté, me mater, qui me demanderait de lui obéir et qui me conduirait sur la voie de la soumission.
Je pensais avoir trouvé ce que je cherchais, son pseudo, psy13, conversait avec moi depuis deux semaines, et je me laissais aller à lui raconter ma vie, mes aspirations, mes fantasmes de soumissions…
Je m’aperçois aujourd’hui que lors de ces échanges par claviers interposés, elle ne s ‘était jamais dévoilée, et je ne savais pas grand chose d’elle.
Je savais qu’elle approchait de la quarantaine, était sportive, mesurait 1,71m et pesait 58 kgs. Elle se disait bien faite, aimant le classique, et semblait une femme très cultivée dont la position sociale devait être protégée.
Elle m’avait réclamé plusieurs photos, pour me juger, je pense que mon physique devait lui convenir, et c’est pourquoi un jour elle me proposa de lui rendre une visite à son bureau. Elle m’avait expliqué que nous serions plus libres pour discuter entre femmes, et que son bureau se trouvait dans un immeuble déserté le week end.
Je devais donc me rendre à Aubagne, le samedi suivant. Sa seule exigence était que je ne parle pas sans y être invitée par elle, et que je devrais obéir en tout point à ce qu’elle me commanderait.
Je pris donc ma voiture et mon courage à deux mains pour me rendre à Aubagne. J’avais pris un plan sur internet, et l’inconnu de ce futur RDV me rendait anxieuse, mais en même temps excitée. Comme je ne savais pas à qui j’avais affaire, j’avais confié à une amie très chère, l’adresse de cette femme, au cas où…
La veille au soir de ce RDV, psy 13 m’avait adressé un mail avec des directives.
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vous vous habillerez avec un tailleur strict, des escarpins, pas de maquillage, sans bijou et une hygiène irréprochable.
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Vous arriverez rue X, à 09h00 précise, vous entrerez dans le parking souterrain situé à gauche de l’entrée de l’immeuble, vous vous garerez à côté d’une CLIO noire.
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Vous prendrez l’ascenseur situé côté ouest à côté de la sortie de secours, jusqu’au 4ème étage, appartement 4A. Vous vous déshabillerez devant la porte, puis une fois nue, vêtue de vos seuls escarpins, vous sonnerez, entrerez dans l’entrée.
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Vous trouverez un placard à vote droite où vous déposerez vos affaires. Ensuite vous viendrez vous placer devant la porte à gauche et frapperez deux coups.
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Je vous attendrais et vous autoriserais à entrer.
Toutes ces recommandations m’avaient dans un premier temps surprise, car psy13 ne semblait pas lors de nos échanges sur le net aussi directive. Je pense qu’elle m’avait bien analysée lorsque je m’étais confiée à elle et qu’elle se permettait à présent de laisser tomber peu à peu le masque.
Je partis donc de bon matin vers Aubagne, prétextant une sortie shopping avec une amie pour aller voir les maîtres santonniers. J’avais pris le plus grand soin au niveau de ma toilette, fraîchement manucurée et épilée de la veille, et mon état d’excitation était à son comble. Un mélange de peur et d’envie, qui me rendait folle et je sentais le désir grandir entre mes cuisses. Mes tétons étaient tout dur, et je m’imaginais nue livrée aux caprices de cette inconnue.
J’arrivais à 08h50 dans la rue de son domicile, et je me garais le long du trottoir en attendant les 09h00. La rue était déserte, un centre des impôts à ma gauche, fermé le samedi et d’autres cabinets ou immeubles de bureaux fermés qui rendait l’endroit angoissant. A 09h, je pénétrais dans le parking souterrain, la porte s’ouvrit, et distinguant une clio noire, je stationnais à côté d’elle.
Je pris mon sac à main, que je serrais contre ma hanche gauche, j’étais glacé, excitée, je me sentais comme un prostituée se rendant à un RDV fixé par une cliente.
Je me sentais mal à l’aise su le point de renoncer à m’engager plus en avant, mais une f o r c e , un défi intérieur m’obligeait à commander l’ascenseur pour me rendre vers le plaisir que j’attendais.
Les portes s’ouvrirent, j’appuyais sur le bouton 4et sentais mon corps s’envoler vers un destin imaginé.
J’arrivais sur le palier, me remémorant les directives de Psy13. Je posais mon sac à main sur un tapis épais qui ornait le couloir, je me déchaussais, me débarrassais lentement de ma veste, de mon chemisier que je pliais sommairement. J’enlevais ma jupe, la mettais de côté. Je retirais ms bas, jetant un regard derrière mois, et espérant que personne ne me surprendrait. J’étais comme folle, je m’interrogeais encore sur ma position et mon comportement. Mais bizarrement, plus je me sentais coupable, plus j’étais excitée et continuais à me dévêtir. Une fois mon string enlevé, je remis mes escarpins et nue comme Eve, je rassemblais mes vêtements et dirigeais un doigt vers la sonnette de la porte 4A.
Je rentrais dans l’appartement, la porte était ouverte, et un air classique de Smetana « La moldau »se fit entendre. Je vis trois portes devant moi, et le placard à ma droite, où je déposais mes vêtements sur des cintres et étagères.
Je me retournais et j’allais me placer, comme un soldat au garde à vous devant la porte de gauche.
Je frappais deux coups à la porte, me sentant fragile et anéantie. Une voix qui me paru assez douce m’invita à entrer.
Une femme se tenait au fond de la pièce assise derrière un bureau de ministre, une lampe de forte intensité me renvoyait uniquement sa silhouette. La pièce était dans une pénombre reposante et en même temps austère. D’épais tapis style persans recouvraient un plancher de bois en chêne. Un divan destiné à des patients se situait à la droite du bureau. Les volets étaient fermés et d’épais rideaux cachaient les fenêtres.
Mon hôte se mit à parler : « Bonjour nath, vous êtes à moi à compter de cette minute à moins que vous repartiez de suite. »
Je répondis mal à l’aise un timide « non »
Psy13 continua alors : « Je considère que vous êtes venue ici pour me servir, m’obéir et que votre souhait est que je sois satisfaite de os services, n’êtes vous pas d’accord avec ceci ? »
Je répondis « Oui », me demandant ce qui me poussait à rester debout, nue devant cette inconnue. J’étais comme hypnotisée.
Elle continua : « Vous m’appartenez donc à présent, et je peux faire de vous ce que je veux. Vous êtes une petite chienne, qui a besoin d’être dressée, et dont je suis prête à me servir comme un simple objet que je jetterais après usage. »
Ce ton qui venait de changer, plus ferme, plus mature me déstabilisa, me fit l’effet d’une gifle. Je n’étais plus une femme aimant son mari, je n’étais plus rien qu’un objet, un simple mouchoir en papier que l’on jette une fois utilisé. Même le mot chienne, me paraissait plus noble qu’un objet.
Mais avant que j’ai eu le temps de répondre, elle me rappela qu’elle ne souhaitait rien entendre, et que je n’avais qu’à hocher la tête et baisser le regard . Ce que je fis prestement.
Elle se leva de derrière son bureau et le contournant s’approcha de moi. Je vis alors une femme brune aux cheveux coiffés en chignon, grande, fine et élancé, habillée d’une robe noire à boutons, fendue sur le devant. A sa main une baguette fine d’environ un mètre comme les maîtres en possédaient pour montrer des points au tableau.
Elle me demanda de me retourner, me toucha à différents endroits du corps avec sa baguette, me jaugeant et attendant je suppose une réaction. Elle me demanda de me déchausser, le tapis était doux, épais, chaud et mes pieds me procuraient une sensation troublante. Je frissonnais, elle dût s »en apercevoir car elle me demanda de me mettre à genoux et m’expliqua ce qu’elle attendait de moi.
« Vous allez vous diriger à quatre pattes, en relevant votre croupe, et vous installer sous mon bureau.
Je suis psychiatre et j’attends ce matin plusieurs RDV de patients. Je vous ai fait venir pour me divertir, pour m’aider à trouver le bien être nécessaire à ma concentration. Vous serez donc à mes pieds, cachée aux yeux des patients et prête à utiliser vos mains, doigts, lèvres ou langue pour satisfaire mes exigences. Sans aucun mot, ni murmure et avec toute l’application que j’attends de vous Objet. P
our indiquer ce que je souhaite, je montrerais l’endroit avec mon doigt, puis deux doigts pour caresser, trois doigts pour masser, un doigt traçant des cercles pour me donner votre langue. Si je suis satisfaite de vous, je vous accorderais une récompense, sinon vous serez punie à la hauteur de votre échec à me contenter ». Une chose encore pour vous je suis dorénavant madame B, et rappelez vous que vous êtes à présent en mon pouvoir. Je vous veux donc soumise, dévouée, une chienne fidèle. Aussi je vais vous placer ce collier autour du cou, marque de votre renonciation à toute liberté en ma présence.
Je sentis alors une s a n g le de cuir autour de ma gorge se refermer, marque d’une soumission acceptée. A présent, je me sentais soulagée, comme si ce collier de chienne, me donnait le droit d’exister, de jouer un rôle, d’un objet de plaisir certes, mais cependant par choix. J’arborais un sourire, et madame me donna un coup de baguette dans le bas du dos, et m’ordonna d’aller me placer dans ma niche, sous le bureau.
A quatre pattes, sentant la douceur de la laine des tapis tissés mains, aux graphismes compliqués, je commençais à avancer vers ce lieu désigné où je devais commencer à jouer mon rôle. Je n’avais pas dépassé le premier tapis que Madame m’arrêta en se plaçant devant moi. Je ne vis que deux escarpins de cuir noir, et des mollets bien faits dans un premier temps.
Je relevais doucement la tête, eu juste le temps d’apercevoir l’ourlet de sa jupe, un coup sec de sa baguette me fit aussitôt plonger le regard vers le sol.
Elle me lâcha cette phrase qui devait rester dans ma mémoire : « En ma présence, tu garderas les yeux baissés, si tu portais un regard sur moi, tu serais punie pour impudence. »
Je répondis : « Oui, Madame… », elle s’écarta et je continuais ma progression, les lattes de bois de chêne étaient dures et me faisaient mal aux genoux. Aussi, c’est avec bonheur que je retrouvais un épais tapis de couleur rouge et vert qui me parut d’une douceur infinie et me permit de retrouver la f o r c e de continuer.
J’arrivais à hauteur du bureau, qui me parut massif, austère. Il était fait de chêne massif, couleur foncée, il cachait parfaitement aux yeux des clients potentiels ce qui se cachait derrière. Je ne pus voir que les pieds du fauteuil que j’écartais légèrement pour me glisser dans ce que Madame appelait ma niche. Je restais ainsi quelques secondes, ne sachant pas quelle position adopter.
Madame arriva, s’assit sur son fauteuil, ou devrais je dire se laissa tomber en allongeant ses jambes devant elle et en s’appuyant sur le dossier. Cette action me permit de découvrir quelques formes de son anatomie qui me comblèrent d’aise.
Elle me dit aussitôt me stoppant dans mes réflexions : « assieds toi en tailleur, face à moi, calée le dos contre le fond du bureau. Mes premiers rendez vous devraient arriver d’ici peu, je te rappelle que je ne veux rien entendre de ta part, tu dois être la plus discrète possible, comme ce tapis sur lequel tu es assise ».
Les rideaux de coton épais ne laissaient que peu de lumière passer, et l’éclairage de la lampe de bureau donnait un poids pesant et angoissant à ce discours. Je me sentais abandonnée, bien sûr, j’aurais pu mille fois me lever et quitter cette pièce et d’ici dix minutes, je serais en route pour mon domicile, mais j’éprouvais une sensation nouvelle, celle d’appartenir à Madame, de ne plus rien décider, de n’avoir qu’à obéir. Je me sentais, comme soulagée, à présent j’étais comme n’importe quel objet de la pièce, je lui appartenais, elle pouvait m’aimer, comme me casser, me garder ou me rejeter.
J’éprouvais d’ailleurs un sentiment étrange, une peur indicible de la décevoir, aussi je m’attachais à tenter tout ce qui me serait possible pour contenter cette maîtresse, comme une chienne fidèle que je me considérais à présent.
Madame V se déchaussa, enleva félinement ses escarpins, les déplaça de côté du bout de ses orteils, et avança ses deux pieds pour les reposer sur mes cuisses. Je vis un index pointer vers ses pieds et décrire deux petits cercles. Je compris aussitôt que ceci était mon premier test, et je pris son pied gauche dans mes mains et avec ma langue je me mis à lécher chaque doigt l’un après l’autre, glissant le bout de ma langue entre chacun, aspirant parfois, mais surtout en restant très douce, pour que la caresse buccale soit appréciée. J’entendis un petit soupir, qui me remplit de joie, Madame appréciait ma langue, et je me sentais fière de la combler.
Je quittais les doigts pour lever le pied, et faire glisser ma langue sous le dessous de son pied, amplifiant les mouvements, et en accélérant mon rythme pour montrer à ma maîtresse que j’aimais ce qu’elle me demandait. Elle pointa alors son index vers l’autre pied, qui reçut immédiatement le même traitement, en le prenant délicatement entre mes mains et en jouant du palper roulé à peine appuyé sur le dessus de son pied, pour rendre plus douce et décontractante le travail de ma langue.
Soudain un coup de sonnette et la porte d’entrée qui s’ouvre, quelqu’un un ou une cliente, nous n’étions plus seule, panique, angoisse, un frisson dans le dos, un coup de pied de madame, qui se leva, remit ses escarpins et s’éloigna de moi pour aller ouvrir.
Je restais seule, comme une bête apeurée, sentant le danger, mais ne pouvant fuir. J’étais nue sous ce bureau à la merci de n’importe qui.
La porte s’ouvrit, des paroles échangées, une femme répondit qui entra suivie de Madame. Elle lui dit de se mettre à l’aise, et d’aller s’allonger sur le divan de cuir noir, dont je ne pouvais entrevoir en me penchant un peu que le haut du dossier. Ce n’était apparemment pas son premier rendez vous, à en croire les échanges de conversations et j’appris rapidement le mal dont souffrait cette femme.
Elle s’appelait Nicole, était célibataire, plus par dépit que par choix, ces quelques relations avec des hommes avaient été des échecs, ils la trouvaient frigide et elle de son côté ne ressentait aucun plaisir dans l’acte sexuel. Madame se proposait une nouvelle fois de procéder à une séance d’H y p n o s e pour essayer de découvrir l’origine de ce mal qui handicapait Nicole dans toutes relations sérieuses.
Cette femme s’allongea sur le divan, et par curiosité, en me penchant, je vis un bout de chevelure blonde. J’étais à présent intéressée, de partager des moments intimes de sa vie, et mon côté voyeur me poussa à ne rien perdre de la conversation que Madame entreprit avec sa patiente.
Madame parla d’une voix douce, enivrante, et Nicole commença à s’enfoncer dans un état de veille apparentée au sommeil.
Madame lui demanda de s’imaginer en maillot sur une plage, le bruit des vagues venant mourir sur un sable blanc et doux comme de la farine. Un souffle de vent chatouillait sa peau, et une ombre pointait à l’autre bout de cette plage, elle se rapprochait. Madame demanda si elle la voyait, puis de la décrire. Nicole qui devait imaginer l’archétype de la séduction commença à décrire un corps mince, celui d’une femme nue, rousse, à la poitrine insolente dont les tétons chauffés par le soleil, étaient entourés d’une auréole brune.
Je ne comprenais plus, cette femme avait parlé de problèmes avec les hommes et ne rêvait sous H y p n o s e qu’à une femme ??
Soudain, je vis la baguette de Madame devant mon visage d’impudente. Elle traça un trait vers le fauteuil et je compris que je devais sortir. Je n’eus qu’un bref regard vers la femme endormie, mais cela suffit pour recevoir un coup cinglant sur ma coupe.
Madame me prit par la laisse sans un mot, me traîna vers le divan. Elle annonça à la femme, que le corps de la femme rousse se penchait sur elle, lui déposait un baiser légèrement mouillé à la commissure des lèvres.
Je reçus un nouveau coup de baguette, puis un deuxième et comprit que la femme rousse, c’était moi et que je devais obéir sous peine de sentir le feu sur mes fesses blanches.
Je m’approchais donc du visage de Nicole et déposait des baisers, sur les lèvres, le cou, à la base de l’oreille, pointait ma langue pour la rendre prisonnière de mes caresses.
Madame me fit signe de déshabiller cette patiente, la veste, puis le corsage blanc, la jupe en lin qui sur le divan était toute froissée. Nicole à présent était en sous vêtements que je me fis un devoir d’enlever. Pour Nicole, il s’agissait de son maillot de bain et Madame continuait à l’amener dans son rêve à se laisser caresser, embrasser par une douce inconnue.
Le string et le soutien gorge rejoignirent le reste des vêtements. Madame demanda à Nicole d’ouvrir grandement les cuisses, et un index vers son sexe et un quart de tour, me firent comprendre où je devais continuer mes offices.
Je déposais donc quelques baiser à l’intérieur des cuisses de Nicole, je remontais doucement glissant avec ma langue vers les premiers poils pubiens, soignés certainement par une esthéticienne.
Ma langue pointa davantage, entrouvrit les lèvres, les mouilla délicatement. Je sentais l’excitation monter du corps de Nicole et je sentais le goût sucré et parfumé sous ma langue. Je sortis en enroulant le bout de ma langue le petit capuchon qui recouvrait le point de tous les désirs inavoués et j’entrepris de le masser entre mes lèvres et ma langue. La salive coulait pour rendre les caresses plus douces et enivrantes et un râle d’extase s’échappa de la bouche de Nicole. Elle était à moi, elle dansait sous ma langue, elle n’était qu’un instrument de plaisir que je m’évertuais à satisfaire et conduire à la jouissance qu’elle semblait attendre depuis trop longtemps. J’accélérais mes mouvements de langues, augmentant la pression. Nicole était tendue comme la corde d’un arc et fut parcourue de nombreux frissons, marques d’un orgasme multiple.
Je reçus un coup de baguette léger de Madame et je me retirais. Elle m’attrapa par mon collier et me tapota la joue, ce que j’assimilais à une flatterie. En bonne chienne, je me mis à lui lécher la main qui tenait la baguette.
Elle me reconduisit alors sous le bureau ou elle déposa une gamelle bleue remplie d’eau. Elle annonça : « Bois petite chienne vicieuse, tu l’as mérité ». J’étais fière, je n’étais plus un objet, mais sa chienne fidèle, j’existais et je commençais à sentir dans mon bas ventre l’excitation qui me gênait. Quand Madame s’éloigna, je me rassis en tailleur, et je glissais une main pour me caresser et calmer le feu qui montait en moi.
La séance se termina avec Nicole, qui fut rhabillée par Madame, on aurait dit un habillage d’une poupée de chiffon. Puis une fois habillée, elle la réveilla, Nicole semblait épuisée, mais comme soulagée d’un poids comme elle le disait. Elle se sentait libérée. Madame vint se rassoir à son bureau et cette fois ne déchaussa que son pied droit , avec trois doigts. Je commençais donc le massage.
Nicole repartit dix minutes plus tard. Et madame me dit que je l’avais excitée et que sa petite chienne allait la soulager en la léchant comme une brave petite salope qu’elle était. Allongée en arrière sur son fauteuil, les cuisses largement écartées, les pieds sur le bord du bureau, elle s’ouvrit à moi et je plongeais ma langue dans sa toison brune pour plaire à Madame. Elle me tenait d’une main par la laisse et s’amuser à tirer dessus pour que mon collier serre ma gorge et m’empêche de m’acquitter correctement de ma tâche.
Mais je me serais plutôt ouvert les veines, que de ne pas combler Madame, je n’étais plus rien, je ne m’appelais plus Nathanaelle, mais chienne, je n’étais plus une cadre supérieure dans une entreprise multinationale, mais une bête vicieuse et perverse pour la seule joie de sa maîtresse.
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